BERNE EST UNE VALEUR AJOUTÉE.
Dans les prochaines années, nous devrons faire face à de lourds défis à Berne. Pour les maîtriser, il faut un pouvoir exécutif qui se libère des structures au maillage serré et qui crée de nouveaux processus et de nouvelles perspectives dynamiques. Il faut également une compréhension plus contemporaine du rôle de l’État, pour un service public réellement amélioré.
Donc si tu souhaites donner plus de puissance à Berne et si tu es aussi d’avis qu’en tant que capitale de la Suisse, nous disposons de nombreux potentiels inutilisés, qui à plus forte raison avec la crise du coronavirus doivent être mis en avant et réalisés maintenant :
Vote pour moi le 29 novembre 2020 au Conseil municipal, et également comme maire au deuxième tour de scrutin.
Avec moi et mon parcours atypique, le pouvoir exécutif de Berne gagne une personnalité impartiale, pleine d’idées et qui dispose en plus d’un excellent réseau international. Je m’engage pour une capitale ouverte sur le monde et orientée vers l’avenir, une ville des idées et pas des idéologies. Avec de nouvelles perspectives, nous pouvons remettre en route la politique définie à Berne depuis des décennies dans ses structures idéologisées, et souvent dans l’impasse, et la remettre ensemble sur la voie du succès. La politique de la ville de Berne doit sortir de sa pénible guerre des tranchées !
Avec une vision globale convaincante, nous pouvons réunir des projets et des mesures de manière dynamique, et en même temps les présenter dans un contexte beaucoup plus large. Les synergies par ex. entre l’économie, la culture, le tourisme, la formation ou le sport seront réalisées avec profit, et elles assistent aussi directement l’image progressive ainsi que le développement économique de la région de notre capitale.
Berne en tant que ville fédérale doit être dans la conscience de la Nation non seulement le cadre de la politique fédérale, mais aussi une capitale avec une conviction vécue et un intérêt pour tout ce qui nous relie et nous unit en tant que Suisses. Si nous pensons Berne et si nous agissons de cette manière, si nous reconnaissons et percevons le devoir de représentation pour le pays, alors nous n’obtiendrons pas uniquement l’estime que nous méritons. Nous négocierons également à l’avenir en position de force et nous serons désignés à juste titre Capitale de la Suisse.
« Avec ma campagne électorale, je veux que chaque Bernois et chaque Bernoise développe l’intuition que nous allons gagner si nous passons de “Berne, la ville malheureuse des fonctionnaires” à “Berne, la capitale” ! »
Gala de Berne en l’honneur de Prince Albert II de Monaco
Avec des priorités claires et un élargissement de notre horizon de pensée de Berne au-delà de Berne, l’avenir nous appartient ! Et nous pouvons en faire ensemble notre succès :
développer Berne non seulement comme la ville la plus agréable à vivre, mais aussi comme la plus cool et la plus progressiste et créative de Suisse.
C’est pourquoi pour Berne
- Conscience de sa propre valeur au lieu de l’autosatisfaction
- Des idées à la place des idéologies
- Du mouvement à la place de l’insignifiance
Claudio Righetti #gemeinderat4stapi
En savoir plus : voir le panneau d’affichage ci-dessous.
Chalet Muri Talk en l’honneur de Luca Hänni
« De Polo Hofer, Züri West, Patent Ochsner en passant par Lo & Leduc, Stephan Eicher jusqu’à Mani Matter ou Luca Hänni : Berne est indiscutablement la capitale de la musique suisse. Et depuis des décennies. Cependant, le Swiss Music Award est décerné à Lucerne ! C’est comme si les Oscars étaient remis à Miami à la place de Hollywood. »
Chalet Muri Talk Spécial – Focus Berne
L’émission courante avec mon invité:
Matthias Ackeret, éditeur, auteur, publiciste et rédacteur en chef du magazine Persönlich
Panneau d’affichage
Berne se vend largement en dessous de sa valeur.
« En tant que capitale, Berne est la marque de ville ayant la plus grosse valeur ajoutée en Suisse. Nous devons placer enfin ce potentiel dans la bonne lumière et commencer à l’utiliser de manière lucrative pour nous. Avec une vision globale durable, nous pouvons réunir des projets et des mesures de manière dynamique, et en même temps les présenter dans un contexte beaucoup plus large. Les synergies entre l’économie, la culture, le tourisme, la formation ou le sport seront réalisées avec profit, et elles assistent directement l’image progressive ainsi que l’économie de la région de la capitale : un service public plus efficace et en même temps optimisé au niveau des coûts. »
De grands sentiments et simultanément une sécurité familiale : Walt Disney aurait adoré Berne !
« Berne — la ville parfaite pour les manifestations. Je veux continuer à développer de manière ciblée ce potentiel comme secteur innovant de l’économie de la capitale et pour l’image du site. Je m’adresse aux organisatrices et organisateurs, aux gastronomes, aux hôteliers ainsi qu’aux commerçants : ils sont tous des piliers essentiels de la qualité de la vie à Berne. C’est seulement avec des idées d’entrepreneurs et des actions engagées que Berne acquiert un attrait visible et tangible. Il est d’autant plus important de conserver un œil sur les conditions-cadres du secteur, et si nécessaire de les optimiser. Ceci englobe le fait d’assister avec une large conviction les secteurs des organisateurs, de la culture et de l’hôtellerie-restauration, étranglés par le coronavirus. Mes expériences personnelles à Berne, par exemple avec l’organisation de Miss Suisse sur la Bundesplatz ou du “Gala de Berne” m’ont révélé le rayonnement que nos capacités d’hôtes exceptionnelles en tant que capitale peuvent avoir à travers le monde. L’économie locale en profite aussi concrètement, et pour une part considérable : dans le cas de l’élection de Miss Suisse, cela a représenté par ex. plus de 2 M CHF au-dessus du budget de la manifestation. »
La suppression du million de la Confédération par le Parlement n’est que la conséquence la plus récente de la mauvaise image de Berne.
« La culture est déterminée par des contenus. Et ceux-ci doivent se mesurer dans leur variété, leur créativité et leur attrait à une offre internationale, et simultanément s’en démarquer. Une culture qui fait réagir regarde plus loin que de Berne sur Berne. Elle veut se mettre en réseau à l’international et pose des jalons ambitieux. C’est pour cette raison qu’il est si important pour la culture de partir d’une vision globale qui définit les projets et les mesures avec une volonté forte et des objectifs communs. Nous devons appréhender la culture comme l’ADN de notre ville, et la vivre de manière ouverte et clairvoyante. Car la culture en fin de compte est également l’impression d’un style de vie, et aujourd’hui c’est un facteur de succès déterminant pour les voyages touristiques. Librement inspiré de l’artiste de pop-art Andy Warhol, “Art is Business – Business is Art”, la culture représente aussi pour chaque ville (et tout particulièrement pour une capitale) un facteur économique pertinent qui génère non seulement directement (donc les musées, les manifestations, etc.), mais aussi indirectement (par ex. la gastronomie, l’hôtellerie, etc.), une création de valeur et une force d’attraction considérables. »
Les décisions motivées par l’idéologie s’opposent à nos intérêts collectifs.
« Je suis pour l’égalité des droits de tous les usagers de la route et contre les mesures discriminatoires. Nous devons considérer Berne dans sa globalité et veiller à créer un environnement ouvert sur le monde et aussi favorable à l’économie : une Berne avec un pouvoir d’attraction suprarégional. Ici la planification de la circulation et la mobilité jouent un rôle central. Au bout du compte, il s’agit toujours de notre bien-être, de notre puissance économique et donc de la sécurisation de notre liberté. La liberté est pour moi le bien suprême que nous devons défendre ensemble. »
Renforcer les idées. Pas les idéologies.
« La Reitschule est l’exemple lumineux de décennies d’immobilisme dans la politique bernoise. Berne a besoin de projets avec un rayonnement qui nous éloigne de l’équation Berne égale Reithalle, Reithalle égale Berne pour aller vers Berne, la capitale de la Suisse ! À la Reitschule, les idées créatrices pour une Berne ouverte sur le monde doivent occuper le devant de la scène, et elles ne doivent pas soutenir des idéologies qui s’opposent totalement à l’esprit du temps. »
Sans engagement plus fort pour l’économie, nous allons continuer à piétiner à Berne.
« Berne doit se présenter de manière beaucoup plus dynamique, mais aussi plus favorable à l’économie. Ceci implique de nouvelles visions et un dialogue proactif avec le hub économique de Zurich. Des conditions-cadres plus attrayantes pour des entreprises innovantes, nationales, mais aussi internationales, doivent être une priorité et les freins de la bureaucratie, comme la surrégulation, doivent être démantelés. En contradiction avec son image flegmatique de ville de fonctionnaires, Berne est l’une des villes les plus créatrices de Suisse. Ce n’est pas par hasard si nous sommes en tête des tubes de la scène musicale nationale depuis des décennies, ou que YB domine le sport suisse. Berne pourrait en plus briller en tant que centre international pour les start-up créatrices et attirer ainsi des talents, et les conserver. Ce serait un gain décisif pour l’avenir de notre communauté. »
L’université apporte de l’influence et de la visibilité essentiellement à Berne. Le canton est au deuxième plan.
« Dans le domaine de l’étude des planètes, pour ne citer qu’un exemple, l’université de Berne est l’un des plus importants centres de recherche au monde. » Berne et l’université pourraient profiter bien davantage l’une de l’autre. Pour cela, la ville devrait ambitionner un rôle plus actif et impliquer l’université de manière plus ciblée dans le développement du site et la commercialisation. Un engagement stratégique sur le long terme, accompagné d’une dynamisation attendue depuis si longtemps de la collaboration entre la ville et le canton. Berne est prédestinée comme capitale universitaire. J’aspire pour l’université de Berne dans dix ans à un attrait et une renommée équivalente aux marques ETH Zurich ou HSG St.-Gall. »
Business-Airport Berne.
« J’attends un engagement plus concret de la politique pour notre aéroport. De par sa situation, il comporte en particulier comme aéroport d’affaires un potentiel de développement lucratif, avec de nombreux avantages par rapport aux grands hubs de Zurich ou Genève. L’aéroport de Berne, et pas celui de Saanen, est en outre le lieu d’atterrissage préféré des visiteurs extrêmement aisés de Gstaad. À Berne, nous devrions en faire une meilleure utilisation. Je plaide depuis longtemps déjà pour un rapprochement stratégique entre Berne et Gstaad pour développer des synergies ensemble. Gstaad est une marque mondiale et devrait soutenir Berne au lieu d’être associée passivement à l’axe Montreux-Lausanne-Genève. »
Le littering est un phénomène global.
« Ce phénomène m’étonne parce qu’il s’oppose totalement à l’esprit du temps. Chez les jeunes notamment, il y a aujourd’hui une conscience beaucoup plus marquée de l’environnement. Je doute que dans ce cas des campagnes publicitaires coûteuses puissent provoquer un changement de comportement. Les mesures préventives ont du sens avant tout là où le caractère d’un homme est formé : en famille et à l’école. Les déchets seront un défi pendant longtemps et ils doivent donc être atténués par les autorités par des concepts à long terme dans l’élimination des déchets. »
Des impôts élevés ont un effet paralysant.
« Les impôts à Berne comptent parmi les plus élevés de Suisse. Un handicap qui tue dans l’œuf la plupart des options de notre développement de site. C’est pourquoi l’objectif doit rester une réduction des impôts et des taxes. Malgré les effets aggravants du coronavirus. »
Tu es jeune ou tu n’es rien : une image qui déforme la réalité, propagée par les médias.
« Il n’y a pas que le coronavirus qui devrait nous rappeler que nous devons nous occuper des anciens dans notre société. Pour moi, la tendance actuelle lancée surtout par les médias et qui va du jeune au toujours plus jeune n’est pas vraiment souhaitable. Je pense qu’elle ne reflète pas non plus la réalité sociétale. Les jeunes et les anciens sont plus proches que l’on ne pense. La possibilité de faire appel à la connaissance et à la sérénité des anciens n’est pas seulement une valeur ajoutée, elle devrait aussi être considérée comme un privilège par les jeunes. Les grands-parents et les parents sont une source d’inspiration et de savoir pour les jeunes gens et en plus un ancrage honnête, fiable et altruiste pour leur propre vie. Qui a-t-il de mieux dans un monde de plus en plus impersonnel et centré sur ses propres intérêts ? »
Ce que nous faisons également : cela doit être un investissement prédictif dans notre avenir.
« Malgré la situation financière désastreuse de la ville de Berne, il ne faut pas se limiter à des économies. Nous devons plutôt davantage resserrer les rangs à Berne et développer un plan Marshall anticyclique, dans lequel des investissements seront réalisés dans des projets à long terme. La question à se poser est : comment pouvons-nous générer de la valeur ajoutée pour Berne et nous préparer ainsi de manière gagnante pour l’avenir ? La priorisation interdirectionnelle des dépenses serait l’impulsion qui convient pour amener tout le monde autour de la table et mettre en route une vision globale pour Berne, qui nous pose comme capitale prête à riposter. »
Die Mitte: Die Mitte : L’ADN politique de la Suisse.
« Die Mitte est pour moi l’endroit parfait pour faire de la politique. Il peut et doit aussi présenter des angles. Il représente pour moi la véritable maison de tous les Suisses, l’endroit où les idées développent davantage de force que les partis, avec leurs valeurs polarisées unilatéralement la plupart du temps. L’avenir ne va pas se développer dans un parti ou un mouvement. Mais dans la cohésion d’une idée commune, d’une volonté commune. »
Die neue Festhalle soll gebaut werden.
« Le renforcement de la création de valeur de Berne en tant que ville de manifestations doit être une priorité. Et je suis aussi en faveur d’un renforcement résolu de Berne comme ville sportive et je dis clairement Oui aux terrains d’entraînement pour YB sur la Allmend. »
La ville a pour cela un mandat légal.
« Cependant elle ne devrait pas construire elle-même. En plus, elle devrait également prendre en charge des projets qui prennent en considération la place économique Berne. »
« Tous les usagers de la route traités de la même manière avec une solution de circulation intelligente : un grand bravo pour le projet de la Bahnhofplatz sans voitures. »
Non à la construction du pont cyclable.
« Si nous parlons de priorités et si nous tenons compte de la situation économique dans laquelle se trouve Berne, nous devons investir et rassembler les forces là où une valeur ajoutée dynamique peut être obtenue de manière ciblée pour Berne et au-delà de Berne. En particulier en ce moment avec la crise du coronavirus. »